Promis, nous n’avons pas prévu de vous détailler chacune des 217 bonnes raisons de nous faire confiance.
Nos clients le font pour nous !
En effet, soucieux d’améliorer la qualité de nos produits et services, notre pôle qualité interroge systématiquement, depuis début août 2022, nos partenaires concernant leur niveau de satisfaction après chaque livraison. L’enquête se matérialise par un email envoyé au donneur d’ordre une semaine après la livraison de la marchandise. Et ce sont plus de 230 clients qui ont joué le jeu.
Ce ne sont pas moins de 230 avis clients qui ont été déposés depuis le lancement de notre programme sur notre site www.offset5.com. Le résultat…
Merci pour vos commentaires, ils sont sources d’amélioration pour nos équipes afin de faire progresser encore notre qualité de service !
Notre technologie utilise de nouvelles encres latex aqua-résine à séchage rapide qui se caractérisent par une adhérence très importante, une odeur minime et de très faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatiles).
En outre, notre traceur grand format offre une polyvalence remarquable pour imprimer tous types de supports : papier, PVC, bâches, vinyles et autres supports complexes.
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Nous qualifions progressivement de nouvelles applications sur notre matériel écoresponsable en fonction des besoins de nos clients.
Nous pouvons entre autre répondre avec cette technologie LATEX aux applications suivantes :
Faibles odeurs et émissions de COV sont de rigueur : aucune ventilation spéciale n’est nécessaire pour notre équipe de production ce qui rend l’utilisation de notre matériel plus sûr.
On les rencontre fréquemment dans les parcs d’attractions, on les voit danser, faire des cabrioles et s’adresser au public dans les stades lors de matchs de football ou de rugby, ou bien dans les salles s’il s’agit de basket ou de handball, on les croise également parfois dans les galeries commerciales.
Elles ce sont les mascottes.
La galerie marchande olonnaise Ylium s’est donc dotée d’une mascotte pour aller à la rencontre des enfants et des parents dans les allées et les boutiques de la galerie. Elle se nomme Yumi.
Contrairement aux mascottes que l’on voit souvent, il ne s’agissait ici ni d’un tigre, ni d’un lion, ni d’une abeille, mais d’un drôle de personnage tout empli d’un nouvel air, souriant, plein de vie et de légèreté : un drôle de ballon de baudruche avec jambes et mains.
Gai, aérien, rassurant, souriant, plein d’entrain, Yumi incarne les valeurs et le message de la galerie Ylium, tout à la fois espace commercial, de loisirs et de sports inédits en Vendée, une véritable planète, pleine de surprises, de nouveautés et de diversité.
Mais les équipes d’Ylium ont voulu que Yumi dispose d’un double de dessin, qu’en plus de la mascotte en chair et en os, tout au moins en mousse et en tissu, puisse exister un personnage dessiné qui allait vivre de folles aventures, à l’intérieur de la galerie, au bowling, dans les espaces de jeu, mais également dans la ville des Sables d’Olonne. Ces aventures donnant lieu à des mini bandes dessinées, à des carnets de coloriages, à des jeux divers et variés.
Il s’agissait donc pour nos trois créatifs de donner une vie dessinée à Yumi. Joli défi qui nous était proposé. Défi relevé !
Yann, Christiane, Daisy, les trois créatifs et chefs de projets mis à contribution dans le cadre du projet.
Comme elle en a l’habitude désormais, notre équipe créative s’est tout d’abord réunie avec le client, pour bien comprendre l’ensemble de ses attentes, de ses désirs, de recueillir les moindres détails. L’équipe de l’Agence pose les questions nécessaires, écoutant attentivement les réponses puis, armés de ce brief précis, nos trois dessinateurs et dessinatrices vont, chacun de leur côté, donner vie à ce personnage en apparence simple, mais en réalité plein de subtilités.
Ensuite, face à ces trois crayonnés différents, chacun représentatif de l’univers graphique de son auteur ou de son autrice, le travail de précision commence et crayons en main, on travaille le regard, la main, le petit toupet au sommet du crâne, les jambes, les pieds, le sourire, son collant rayé rose et marron. L’équipe pioche chez l’un et chez les autres pour donner vie à Yumi tel que vous le connaissez aujourd’hui.
Une fois ce travail réalisé et validé par Ylium, c’est l’une des membres de l’équipe qui est chargée, seule cette fois-ci, de dessiner l’ensemble des albums, des flyers où se déroulent les aventures de Yumi.
Notre personnage vit cette année sa deuxième saison, entre les mains des enfants olonnais qui aiment le retrouver, dans son petit livret de jeux et de dessins, distribué dans toute la ville.
3 créatifs mis à contribution = 3 pistes graphiques présentées lors de la soutenance du projet.
Première esquisse de présentation de la ville des Sables d’Olonne avec au cœur de la cité, Ylium la galerie commerciale.
Rendu final du volume 2 des aventures de Yumi !
Une page d’identification permet aux enfants de personnaliser leur carnet de jeux, suivie par une page de présentation des activités et services de la galerie Ylium et de la ville des Sables d’Olonne.
Double page intérieure du tome 2. Une création imaginée et mise au trait par l’équipe de l’agence.
La création de Yumi est bien à l’image des méthodes de travail de notre Agence, des univers graphiques qui se répondent, collaborent, cherchent et trouvent ensemble, profitent de leur diversité, pour offrir à nos clients l’univers graphique qui convient le mieux à leur projet.
L’agence Offset 5 c’est une équipe de 15 personnes, professionnels de la création, de la mise en page et du digital.
Vous avez un projet graphique unique, singulier, n’hésitez pas à nous contacter, nous en parler, notre équipe saura traduire en traits et couleurs, vos idées, vos choix, vos messages.
Des besoins en urgence ?
N’hésitez pas à nous contacter.
L’Agenda CA5 et ses 128 pages est proposé dans un format 148 x 210 mm, très pratique et maniable. Son intérieur est composé d’un semainier de 128 pages, sur un papier offset de 80 grammes.
Cet agenda bénéficie d’une grille d’une semaine sur une page et d’une page de note en face.
Il contient également une page de présentation, un planning annuel, les vacances scolaires et jours fériés, un planning de l’année suivante et des pages de notes.
Son intérieur est imprimé en 2 couleurs R°/V° (bleu et bordeaux) + une perforation en coin
Il bénéficie de plusieurs options de façonnage :
• En dos carré PUR, pour une livraison rapide
• En reliure Wire’O
• En reliure Wire’O enveloppante (délai plus important)
Découvrez toute la gamme d’agenda CA5
L’agenda C18 et ses formats 94 x 168 mm (en finition souple) et 90 x 165 mm (en finition rigide), bénéficie d’un semainier de 128 pages, avec 1 semaine sur 2 pages. Il est imprimé en 2 couleurs sur un papier offset 70 g avec un atlas de 8 pages imprimé en quadri sur un papier couché brillant 115 grammes.
Il bénéficie également de plusieurs options de façonnage :
• En dos carré collé, PUR pour finition souple, pour une livraison rapide
• En dos carré collé, emboité pour finition rigide,
• Avec une reliure Wire’O.
Découvrez toute la gamme d’agenda C18
C27, le Best-seller de l’agenda, c’est lui. Meilleure vente d’agenda, le C27 au format 210 x 270 mm et son intérieur avec semainier de 128 pages et la semaine sur 2 pages est le chouchou des utilisateurs. Imprimé en 2 couleurs sur un offset 80 grammes, il contient un atlas 16 pages imprimé en quadri sur un papier couché brillant de 115 grammes.
Il contient également une page de présentation, un planning annuel, les vacances scolaires et jours fériés, un semainier international en 5 langues, le planning 7h-21h, un espace notes, le rappel de la semaine en cours, le planning de l’année suivante et des pages de notes.
Il bénéficie également de plusieurs options de façonnage :
• En dos carré collé, PUR pour finition souple, pour une livraison rapide
• En dos carré cousu collé, emboité pour finition rigide
• En reliure Wire’O
• Et en reliure Wire’O enveloppante (délai plus important)
Découvrez toute la gamme d’agenda C27
Pour un rendu de qualité supérieure, la reliure rigide a fait ses preuves.
Les pages intérieures de l’agenda relié rigide sont assemblées en cahiers cousus les uns aux autres.
Le corps de l’ouvrage est ensuite emboîté dans une couverture rembordée sur carton.
La couverture peut être imprimée en quadri et pelliculée ou plus communément rembordée avec une couverture matière.
Les pages de gardes, quant à elles, peuvent rester vierges ou être imprimées en quadri.
Des pages de personnalisation peuvent venir agrémenter l’agenda relié rigide pour convertir ce produit en outil de communication de qualité supérieure.
C18, C20, C24, C27, C30 et agendas professionnels
Les calendriers bancaires rigides
Les calendriers chevalet
les calendriers illustrés
Fabricant français d’agendas, calendriers, carnets de notes et cartes de vœux, nos produits d’éditions et de communication sont réalisés sur nos sites de productions de Vendée et de l’Indre.
La couverture est le premier élément visible d’un magazine, d’une brochure, d’un catalogue.
Elle est la porte d’entrée de votre lecteur.
Une couverture séduisante dans son fond et dans sa forme est ce qui va donner au lecteur l’envie de prendre, d’ouvrir le magazine et d’entrer dans votre univers.
Comment représenter la cité de Talmont Saint Hilaire et les 1000 ans d’histoire de l’un des plus anciens châteaux de pierre en France, tout en lui apportant une image résolument contemporaine et actuelle ?
Tel était le défi proposé à notre agence de communication.
Découvrez les différentes propositions de notre agence de communication, en faisant défiler les flèches ►
Au-delà du contenu, vous êtes de plus en plus nombreux à nous confier la réalisation des couvertures de vos catalogues, brochures ou magazines.
Cette année, le magazine prestige « Les Sables d’Olonne Magazine » fête sa 24ème édition et sa 24ème « Première » de couverture confiée à notre pôle création.
Au fil du temps et des années, l’équipe à su proposer de nombreuses évolutions, transitions et nuances, liées aux aspirations et tendances mais également à l’évolution des technologies d’impression.
Éco-esthétisme, évolutions typographies, nouvelles matières, design minimaliste coloré… Découvrez ces couvertures aux multiples facettes.
Fort d’une équipe de 15 personnes, le pôle création intégré, bénéficie du savoir-faire et de la maitrise des outils d’impression de sublimation et de façonnage.
Nées d’un vrai travail collaboratif entre l’équipe de création et l’équipe de production, nos couvertures doivent interpeller le lecteur par ce qu’elle représentent.
Elles se doivent également d’être le reflet de notre savoir-faire créatif et de notre connaissance des techniques de finitions et d’embellissements, sans oublier une parfaite perception et compréhension de leurs impératifs de mise en œuvre.
Nous équipes maitrisent parfaitement différentes techniques :
Vernis 2D ou 3D, impression fluo, vernis sélectif paillettes , impression des couleurs à chaud, bleu, or…Vernis sélectif paillettes dorées.
Mais aussi les différents pelliculages : mat, brillant ou soft touch.
Couverture anti-rayure avec un pelliculage mat, aspect éclatant des couleurs et des noirs accentués pour un pelliculage brillant, ou bien un toucher velouté « peau-de-pêche » avec un pelliculage Soft Touch. Nos équipes sauront vous conseiller au-delà de l’aspect qualitatif, de l’impact financier inhérent à chacune des possibilités d’embellissements.
Découvrez comment apporter une dimension prestigieuse à vos produits d’impression haut de gamme – LIRE L’ARTICLE
Vous avez un projet éditorial à mener et vous vous interrogez sur la pagination idéale à adopter, d’un point de vue technique ou économique.
Nous allons vous guider pour affiner votre analyse.
Que vous soyez éditeur, auteur, responsable marketing… La pagination est un sujet important et à ne pas négliger.
La pagination, au même titre que le format ou le choix du papier, est d’une importance capitale dans l’estimation économique de votre projet d’édition.
Selon votre type de projet, il est possible que la pagination finale soit la conséquence finale du travail d’écriture ou, au contraire, qu’elle soit déterminée dès le lancement du projet.
Votre projet est d’ordre littéraire ; il parait difficile de fixer la pagination, avant que la rédaction de l’ouvrage ne soit terminée.
Aucun auteur ne se lance dans un projet d’écriture en se fixant comme contrainte « je vais écrire un roman, un essai ou un récit de 250 pages».
Il peut se donner comme horizon une vaste saga ou un court roman, mais la pagination exacte ne sera déterminée qu’une fois l’écriture achevée.
Votre projet est d’ordre éditorial ; il est prudent de fixer la pagination finale avant d’entamer la rédaction.
Éditer un catalogue, des outils de communication ou un magazine installe des problématiques de poids et de routage qui nécessitent un cadrage budgétaire dès la naissance du projet, et la pagination a une incidence majeure sur ce dernier.
On comprend aisément qu’un magazine de 128 pages sera plus onéreux à éditer et expédier qu’un magazine de 64 pages, à choix de papier identique.
En fonction du produit imprimé et de son usage, la pagination est donc dans un cas un résultat, et dans l’autre une contrainte ou un choix.
Dans un cas comme dans l’autre, elle réclame cependant d’être optimisée, en fonction du type d’impression retenue et de votre budget.
Deux modalités techniques sont à prendre en compte : le type d’impression (numérique ou offset) et le type de façonnage (dos carré collé ou piqure).
L’impression numérique est à choisir pour des projets réclamant un tirage limité.
Sans entrer trop dans les éléments techniques, sachez que l’impression numérique se fait feuille à feuille, comme le fait votre imprimante de bureau.
Ce type d’impression ne joue donc pas vraiment sur la pagination, qui doit simplement être un multiple de deux.
Le format de base est généralement A4, en format plein pour un magazine et en format plié pour un livre au format A5.
En revanche le choix de la reliure et du façonnage entre en ligne de compte.
Si vous optez pour une reliure de type piqure (celle d’un magazine avec des agrafes), dépasser 128 pages pour un papier de 80g (celui de votre imprimante de bureau) n’est guère envisageable. Il est préférable de demander à votre commercial(e) le rapport grammage / nombre de pages, à respecter.
Au-delà de cette pagination il vous faut envisager une reliure à dos collé.
Dans ce cas, le nombre exact de pages n’a pas d’importance (128, 130 ou 132 pages, par exemple sont techniquement possibles).
La seule limite devient le nombre total de pages qui rend l’objet final plus ou moins pratique. Ainsi un volume de 1000 pages est dans doute une moins bonne idée que deux volumes de 500 pages.
Contrairement à l’impression numérique, l’impression offset réclame une optimisation précise de la pagination.
Sans entrer trop dans les détails techniques, sachez que l’impression se fait non pas feuille à feuille, mais recto-verso sur une grande feuille qui est ensuite pliée en cahier.
C’est ce que l’on nomme, l’imposition.
Le coefficient multiplicateur n’est plus 2 comme en impression numérique mais :
32 pages sur une feuille de 64 x 90 pour un résultat final au format 14,8 x 21 (A5) pour un livre
16 pages sur une feuille de 64 x 90 pour un résultat final au format 21 x 29,7 (A4) pour un catalogue ou un magazine.
32 pages sur une feuille de 72 x 102 pour un résultat final au format 16,5 x 24
On constate que pour une impression offset 128 pages, multiple de 32, est une pagination possible mais pas 130 ou 132.
Regardez bien les magazines que vous lisez, ils possèdent une pagination ainsi optimisée de 64, 96, 128, 160 pages, etc.
Une pagination finale de 156 pages est certes possible (128 + 16 + 8) mais dans ce cas, les surcoûts sont très importants au regard d’une pagination optimisée de 160 pages.
Tout comme nous l’avons indiqué plus haut dans le paragraphe consacré à l’impression numérique, le type de reliure est a prendre en compte et les paginations indiquées pour le numérique sont les mêmes en offset, le dos piqué reste difficilement applicable au-dessus d’un certain nombre de pages.
Un livre rigide emboité dans une couverture, passe obligatoirement en couture.
Un 4 pages isolé entraine un surcoût à l’impression mais également au façonnage et doit être solidaire d’un cahier de 16 pages pour ne pas risquer de fragiliser l’ouvrage.
Comme précisé précédemment, pour une reliure de type piqure, il est préférable de demander à votre commercial(e) le rapport grammage / nombre de pages, à respecter.
Une pagination importante et /ou un fort grammage peuvent ne pas convenir pour ce type de reliure.
Il faut donc avoir bien présent à l’esprit que le choix de la « pagination globale » est fonction de votre projet (budget, volume de diffusion, prix de vente, contenu rédactionnel, etc.) mais que la « pagination exacte » doit être travaillée en collaboration avec votre imprimeur qui saura, selon les moyens techniques d’impression retenus, vous indiquer la pagination la mieux optimisée et vous permettre ainsi une gestion fine de vos coûts et de l’utilisation optimale de votre matière première, le papier.
Offset 5 est une entreprise familiale, fondée en 1986 par Jean Imhof. C’est désormais sa fille, sablaise d’origine, Lucie Imhof qui dirige ce qui est aujourd’hui le Groupe Offset 5 Édition. En plus de l’activité originelle d’imprimerie à La Mothe-Achard, s’est développée sur le même site, une agence de communication et à Nantes et en Vendée une maison d’édition. Depuis 2016, une seconde unité de production installée à Châteauroux, Color 36, a rejoint le groupe.
Si l’entreprise s’est beaucoup développée en trente années d’existence, elle demeure fidèle à ses engagements fondateurs à savoir : la proximité avec le client pour l’écouter et le conseiller au mieux ; la garantie de prix ajustés, de délais respectés et d’une qualité des produits irréprochables ; la recherche constante des meilleurs outils de travail, le renouvellement régulier des machines et la fabrication de l’ensemble de ses produits exclusivement en France.
C’est la grande fierté d’Offset 5. Les 140 emplois créés par le groupe le sont en France, les sous-traitants sont des voisins, comme l’Esat-Co de l’association Adapei-Aria.
Par la proximité entre le lieu de fabrication et le client à livrer, l’empreinte carbone est réduite, les délais sont courts et l’utilisation d’un véhicule électrique est systématique pour les livraisons de proximité. Chez Offset 5, tout ce qui peut l’être est recyclé et traité écologiquement, les chutes de papiers, les encres et même les chiffons de nettoyage des machines.
L’imprimerie est d’autre part triplement certifiée : le label Imprim’Vert garantit une gestion durable des matières dans l’entreprise et une optimisation des procédés de recyclage ;
Les certifications FSC et PEFC garantissent l’utilisation de papiers issus de forêts durablement gérées.
Cet attachement au local et au développement de son territoire n’empêche nullement de devenir très performant.
Offset 5 est ainsi le numéro 1 français dans la conception et la fabrication de produits millésimés de papeterie entièrement personnalisables que sont les agendas, les notebooks et les calendriers. Et compte parmi les 100 plus gros industriels français du secteur de l’imprimerie. L’agence de communication est, avec ses 15 collaborateurs, l’une des plus étoffée de Vendée.
Toujours en quête d’une expérience client simple et efficace, Offset 5 propose un écosystème d’outils digitaux comme wink.offset5.fr qui permet la simplification des allers retours de correction sur les projets de l’agence et la solution Insite qui facilite la validation des BAT avant départ en impression des travaux.
Cette recherche de fluidité et de simplicité a naturellement donné vie à une nouvelle offre de service :
TYPIZ PRO.
Une prestation globale permettant la mise en place de plateformes Web to Print pour le compte de grandes entreprises.
Cette prestation permet aux grandes entreprises de déployer auprès de leurs collaborateurs, filiales et réseaux, des outils personnalisables en ligne dans le respect d’une charte graphique validée par le service marketing.
Finis les B.A.T, les aller-retours de corrections avec l’agence de communication, le flux est maîtrisé, le produit fini, de qualité.
Entretien avec Michael Dupillier, Directeur Marketing & Digital du Groupe Offset 5 Édition
Le déploiement des plateformes s’articule autour d’une idée forte : « Simplifier la vie des services marketing » .
« Nos clients, ont besoin de solutions évolutives et de partenaires structurés pour accompagner leurs développements.
Lorsque vous passez de 10 à 200 puis 2000 collaborateurs, il faut être entouré de bons partenaires, non seulement capables de proposer une solution digitale, mais également de proposer les processus de production et logistiques nécessaires à l’exécution des travaux ».
Offset 5 compte parmi ses clients de grands noms de l’industrie et des services et entre autres Renault Trucks, MSD Santé Animale, Synergie Travail Temporaire, Artisans ARTIPÔLE, APAVE, Guy Hoquet…
« Nous avons multiplié par deux les effectifs en 2021 au sein de l’entreprise au niveau du pôle digital et nous avons bien l’intention d’accélérer dans cette voie » conclut Michael Dupillier.
*Offre valable en France métropolitaine
Lorsque vous décidez de faire imprimer un support de communication, le type de papier que vous allez choisir et une décision importante pour la qualité de votre projet.
Toutefois, au-delà de vos options esthétiques et de vos goûts personnels, le type et la qualité du papier que vous allez utiliser peuvent faire toute la différence
Il existe pour vos travaux d’édition deux catégories de papier : le papier couché et le papier non couché.
Chacun des deux possède des caractéristiques propres qui le rendent plus ou moins adapté à certaines utilisations.
Le papier couché vous permet d’obtenir un résultat particulièrement net et donnant beaucoup de contrastes pour vos photos imprimées.
Le rendu des images est de grande qualité, permettant d’en percevoir les détails les plus fins, avec de grands contrastes entre la zone imprimée et les espaces blancs.
Il est donc parfait pour des publications de prestige, c’est pourquoi l’on retrouve le papier couché dans la plupart des magazines ou des catalogues haut de gamme. Les lecteurs et utilisateurs l’apprécient tout particulièrement pour son aspect brillant, prestigieux et de qualité. Le papier couché fournit une surface idéale pour les images haute résolution et les détails fins et offre un excellent support à l’encre et s’adapte tout particulièrement aux aplats et aux surfaces unies.
Si vous recherchez une plus-value de ce type, le papier couché est sans doute celui à privilégier.
Techniquement le papier couché est idéal pour les travaux d’impression réclamant un vernis, un revêtement UV, de l’estampage à la feuille d’or ou d’argent, ou bien encore des découpes de formes personnalisées.
Cependant le papier couché présente aussi quelques inconvénients qu’il est bon de connaître.
Ainsi écrire sur du papier couché avec un stylo est difficilement possible.
Par ailleurs l’aspect brillant du papier couché peut rendre la lecture de texte difficile.
Pour ce type d’utilisation, le papier non couché est préférable.
Le papier non couché est idéal pour toutes les impressions de textes, comme les livres, les rapports projets, les enveloppes ou le papier à lettres.
Son aspect duveteux donne un rendu tactile agréable.
On retrouve le papier non couché dans la plupart des impressions typographiques et dans les travaux réclamant du gaufrage.
Il est également idéal pour le pliage, ainsi la plupart des projets d’emballage sont réalisés en papier non couché.
Le papier non couché est bien adapté aux projets bon marché et/ou soucieux de qualité environnementale.
Le papier non couché présente lui aussi quelques inconvénients qu’il est bon de connaître.
Il n’est pas recommandé pour l’impression d’images très détaillées ni pour l’impression des zones de ton moyen.
D’autre part le papier non couché réclame un temps de séchage plus long que le papier couché, il convient donc de bien prendre en compte cet aspect dans les délais de fabrication et de commande.
On le voit bien le papier couché ne s’oppose pas au papier non couché.
Toutefois, il s’agit de deux types de papier de grande qualité, mais réservés à des utilisations différentes.
En raison de l’importance de ce choix, n’hésitez pas à nous demander conseil, nous saurons vous guider vers le papier le plus adapté à votre projet.
Quelques articles complémentaires pour vous aider à choisir.
Couleur, utilisation du RVB vs CMJN
Quel grammage pour quel usage ?
Derrière ces termes un peu « barbares », se cache une finition innovante, le dos carré piqué [DCP] et une impression plus ciblée, plus impactante et plus personnalisable, appellée print on demand [POD] (impression à la demande).
Pour vos projets de documents personnalisés, c’est un atout incontestable en cette période ou tout doit être calculé au plus juste pour une performance optimale.
N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre contact commercial.
*Offre valable en France métropolitaine
Au sommaire :
– Deux systèmes de codage informatique des couleurs.
– Quand choisir l’utilisation du code RVB ?
– Quand choisir l’utilisation du mode CMJN ?
– Configurer les modes de couleur RVB et CMJN dans les logiciels de création graphique.
– Comment vérifier que le document est en mode RVB ou CMJN ?
– Convertir RVB et CMJN
– Bien maitriser les modes couleur
Conclusion
Le mode RVB mélange 3 couleurs, le rouge, le vert et le bleu.
En variant informatiquement le degré de luminosité de ces trois couleurs, ce ne sont pas moins de 17 millions de teintes différentes qui s’offrent à la palette du graphiste, car chacune des 3 couleurs de base possède 256 niveaux de luminosité différents que l’on peut varier quasiment à l’infini.
Le mode CMJN se compose de 4 couleurs : cyan, magenta, jaune et noir. On le nomme aussi quadrichromie.
En variant le pourcentage de chacune de ces couleurs on obtient environ 16 millions de teintes possibles.
La différence d’utilisation des 2 systèmes ne se fait donc pas, sur le nombre de couleurs différentes qu’il est possible de créer avec l’un ou l’autre.
Le RVB est le mode par défaut des écrans d’ordinateur et de télévision, il est donc particulièrement adapté à l’affichage numérique, quel qu’en soit le support, smartphone, téléviseur, écran d’ordinateur, appareil photo numérique, tablette etc…
Le RVB s’applique aussi bien à la création de logos, de photographies, de vidéos, d’infographies, bref de n’importe quel contenu numérique. Il est particulièrement indiqué dans la création de sites web, d’applications mobile, ou de réseaux sociaux. Il est par ailleurs utilisé pour tous les fichiers numériques, comme les courriels par exemple.
Quels sont les meilleurs formats de fichiers informatiques adaptés au RVB ?
Le format JPEG est idéal pour les fichiers RVB, car il peut être lu sur n’importe quel support et représente un bon compromis entre taille et qualité du fichier. Les formats PNG et GIF sont également parfaitement adaptés au code RVB.
Nous vous conseillons d’éviter les formats TIFF, EPS, PDF et BMP pour une utilisation RVB, en effet ces formats ne sont pas compatibles avec l’ensemble des logiciels et constituent souvent des fichiers extrêmement volumineux car lourds en données.
Donc pour toute utilisation de type « écran » nous vous conseillons d’utiliser le mode RVB.
Le mode RVB n’est pas du tout adapté à l’impression papier.
En effet le résultat vu à l’écran n’est pas le même une fois les couleurs imprimées sur papier ou tout autre support opaque.
Pour une création destinée à l’impression il faut utiliser le mode CMJN.
Les couleurs en CMJN apparaîtront moins lumineuses sur un écran, sauf s’il est paramétré et calibré en fonction d’un profil CMJN, mais donneront leur plein éclat en impression traditionnelle sur des affiches, des panneaux d’affichage, des flyers, des menus de restaurant, des cartes de visites, des objets promotionnels.
Quels sont les meilleurs formats de fichiers informatiques adaptés au CMJN ?
L’important est de travailler dans un environnement CMJN dès la création du document (Indesign, Illustrator et Photoshop).
Concernant les logiciels Word, Power Point et autres suites Microsoft, ils gèrent difficilement, voire pas du tout, le mode colorimétrique CMJN, Il en est de même pour Canva, Vistacreate…
Il faudra donc effectuer une conversion sur le PDF généré, qui entraînera systématiquement une modification du rendu couleur.
Quel que soit le logiciel de conception de votre document, si vous êtes dans le bon environnement couleur, l’idéal sera de générer un fichier format PDF adapté aux spécificités de l’impression, ce fichier universel rassemblera tous vos éléments textes et images.
Définir le mode couleur dans Photoshop.
Dans Photoshop, le paramètre de mode couleur est inclus dans la nouvelle fenêtre de document.
Lorsque vous créez un document dans Photoshop, l’option « affichage des couleurs » est incluse dans la fenêtre « Nouveau document » ainsi que d’autres paramètres.
Si votre image est en RVB, il faut se rendre dans le menu « image », « mode » puis couleur CMJN. Votre visuel sera ainsi converti selon le profil défini dans les paramètres couleur, à savoir Isocoated V2 pour une impression sur papier couché, et PSO uncoated 12647 sur un papier non couché.
Définir le mode couleur dans Illustrator
Les paramètres du mode couleur d’Illustrator se trouvent dans le menu « avancé » de la fenêtre « nouveau document ».
Lorsque vous créez un document dans Illustrator, l’option « mode couleur » apparaît dans le menu déroulant « options avancées », cliquez sur la flèche pour dérouler le menu.
Il est également possible de modifier le mode colorimétrique d’un fichier existant dans le menu déroulant « fichier » puis « mode colorimétrique de document », les couleurs présentent seront converties en fonction du profil couleur RVB ou CMJN paramétré.
Définir le mode couleur dans InDesign
InDesign définit le mode couleur automatiquement, selon que vous sélectionnez un document de type CMJN ou RVB.
Vous pouvez définir vos nuances colorimétriques à l’aide du menu déroulant « mode couleur » du panneau « options de nuance ».
Les couleurs sont déjà mesurées en valeurs RVB ou CMJN, selon le type de document sur lequel vous travaillez.
Comme InDesign permet de mélanger des espaces colorimétriques, vous pouvez modifier le mode de couleur, mais il est préférable de garder les couleurs cohérentes pour maîtriser le rendu final.
Si vous ne vous souvenez plus comment vous avez configuré votre document ou si vous travaillez sur le fichier de quelqu’un d’autre, voilà comment contrôler le mode couleur.
Contrôler le mode couleur dans Photoshop
Dans Photoshop, le mode couleur apparaît entre parenthèses sous l’onglet « document ». Vous pouvez également le trouver en allant en mode « image », le mode couleur du document est alors coché.
Contrôler le mode couleur dans Illustrator
Dans Illustrator, le mode couleur apparaît entre parenthèses sous l’onglet « document. Le mode couleur du document est coché.
Contrôler le mode couleur dans InDesign
Le mode de couleur CMJN apparaît dans le panneau « couleurs ».
Une fois le panneau ouvert, les couleurs apparaissent en pourcentages CMJN ou RVB, selon le mode couleur du document.
Il est toujours possible de passer d’un mode à l’autre en fonction de vos besoins.
Attention cependant, en plus de modifier l’espace colorimétrique de votre document, vous devrez certainement modifier les couleurs pour obtenir un rendu proche de ce que vous aviez au préalable.
Modifier l’espace colorimétrique dans Photoshop
Accédez à « modifier » « convertir en profil ». Une boîte de dialogue s’ouvre. Dans le champ « Zone cible », utilisez la liste déroulante pour sélectionner le mode de couleur voulu.
Votre visuel sera ainsi converti selon le profil défini dans les paramètres couleur, à savoir pour le CMJN : Isocoated V2 pour une impression sur papier couché, et PSO uncoated 12647 sur un papier non couché. Si l’image n’est pas déjà aplatie, cochez la case « aplatir l’image » pour en préserver l’apparence, car les couleurs peuvent ne pas avoir le rendu souhaité avec des calques utilisant des modes de fusion et de la transparence.
Cela fait, appuyez sur OK. Les informations sur le mode de couleur changent dans l’onglet en haut du document.
Modifier l’espace colorimétrique dans Illustrator
Dans le menu déroulant « Fichier », accédez à « Mode colorimétrique du document » et sélectionnez couleurs CMJN.
Modifier l’espace colorimétrique dans InDesign
Comme dans Illustrator, vous pouvez choisir le mode colorimétrique de votre document dans le menu > Edition > couleurs…
Choisissez le profil couleur CMJN (iso ou uncoated) en fonction du papier que vous avez sélectionné au préalable.
[ATTENTION] , lorsque le mode colorimétrique CMJN n’a pas été géré en amont, modifier l’espace colorimétrique dans Indesign, au moment de générer le PDF, permet bien de réaliser un PDF CMJN. Cependant, le résultat visuel du PDF sera différent de ce que vous voyez sur Indesign.
Vous pouvez définir le mode de couleur du document InDesign lors de son exportation. Exportez le fichier en Adobe PDF, puis sélectionnez un répertoire d’enregistrement.
Dans la fenêtre « exporter au format Adobe PDF » sur la gauche, sélectionnez « sortie » et utilisez le menu déroulant « destination » dans la section « couleur » pour sélectionner le profil de couleur souhaité. « IMPORTANT : ne pas inclure les profils.
Si vous travaillez avec beaucoup d’images différentes, il est préférable de changer le mode de couleur de l’image via vos programmes natifs (tels que Photoshop ou Illustrator), à condition de les avoir liés.
Plus vous travaillerez avec un mode de couleur défini au plus tôt, plus vous pourrez être sûr du rendu final.
Savoir comment les couleurs interagissent peut apporter un meilleur contrôle sur l’apparence du résultat final.
Si vous voulez des couleurs parfaites à chaque fois que vous réalisez un document pour l’impression, il est préférable de faire appel à un graphiste professionnel ou de demander une prestation d’optimisation et de contrôle de vos fichiers à votre imprimeur.
Si vous souhaitez faire imprimer votre document, avec un rendu final maitrisé, proche de ce que vous voyez sur votre écran, travaillez avec un espace colorimétrique en CMJN.
1 – Avant tout travail de création, définissez sur quel type de support sera imprimé votre document. Sur papier couché ou non couché.
2 – Une fois sélectionné votre type de papier et afin de maitriser le rendu final, affectez le profil couleur adapté au support dans vos outils de création : In design, photoshop, illustrator.
Choisir le profil Isocoated V2 pour une impression sur papier couché, et PSO uncoated 12647 pour un papier non couché.
Dans bien des domaines, et depuis plusieurs mois, le prix des matières premières augmente. Ce phénomène se rencontre dans le bâtiment, celui des composants électroniques et n’épargne pas le monde des arts graphiques. Si la situation s’améliore sur le plan sanitaire semble t’il, certains produits et certaines matières premières souffrent désormais d’une forme de pénurie entrainant une forte volatilité des prix. C’est le cas notamment du papier, des encres, des plaques offset.
Les conseils que nous allons vous donner dans cet article pour maitriser votre budget sont tout aussi valables dans le contexte actuel de forte volatilité que dans des périodes ou le prix des matières est plus stables. Voici donc 7 pistes (car il en existe d’autres 🙂 ), pour optimiser et maitriser votre budget print, en toutes circonstances.
Rien de surprenant à annoncer que la quantité imprimée a une influence forte sur le prix.
Dans le monde des arts graphiques, deux logiques sont possibles :
Notre conseil : bien analyser vos besoins en amont de l’impression et travailler sur de la confirmation de commande plutôt que sur la prévision de vente ou de consommation. Il est en effet onéreux et peu écoresponsable d’imprimer trop pour devoir jeter ensuite. L’avènement du digital a ouvert le champs des préventes simplifiées aux Editeurs. Pour les grands groupes aux multiples filiales, un questionnaire digitalisé adressé à vos filiales avec confirmation de quantité permet d’avoir une information précise des besoins globaux d’un ou de plusieurs produits donnés.
Choisir le bon format, dans la mesure du possible devrions nous ajouter.
En effet, Il n’est pas toujours possible de modifier le format d’un produit, s’il fait partie d’une collection par exemple.
On entend par « bon format », un format adapté à l’outil industriel de votre partenaire imprimeur, un format qui permet de limiter les chutes, et qui permet de considérer que presque 100% de la quantité de papier utilisé dans le processus industriel correspond à 100% de la quantité de papier imprimé.
Notre conseil : Il faut pour y parvenir choisir le format le plus adapté à la machine du partenaire imprimeur. Ce dernier est à votre disposition pour travailler avec vous cette optimisation.
Optimiser le grammage papier est un axe de travail qui peut s’avérer extrêmement efficace lorsque c’est possible. A titre d’exemple, un ouvrage édité en 135g/m2 que vous décidez de commander en 115g/m2 permet de réduire de 17% le volume de papier nécessaire à sa fabrication. Il est évident que la ‘part papier’ ne constitue pas 100% de votre produit fini, mais, pour des volumes importants cette part augmente. Pour des runs de production importants, optimiser le grammage est un axe extrêmement efficace pour maitriser votre budget.
Notre conseil : Au risque de se répéter, demander conseil à votre imprimeur et faire des maquettes en blanc lorsque le volume de commande le justifie permet de guider l’arbitrage.
Travailler le format est donc un très bon axe d’optimisation de votre budget et de comportement écoresponsable.
On nomme, embellissement, le traitement de la couverture ou de l’intérieur de votre produit de communication ou d’édition. Il peut être un vernis, une dorure à chaud, une découpe…
Cette opération représente toujours un coût, qui peut, en fonction du procédé s’avérer important.
En effet, les opérations de surfaçage complexes nécessitent souvent l’intervention de spécialistes. Le prix de l’embellissement est donc non seulement le prix du traitement en lui-même, mais également celui du transport aller et du transport retour (depuis et vers l’imprimeur à qui vous confiez la réalisation de votre produit d’édition ou de communication).
Notre conseil : La plus économique des protections, est le vernis acrylique qui permet de protéger la couverture. Vient ensuite le pelliculage Mat, Brillant ou Anti-rayure, puis les embellissements plus complexes (Vernis 3D, Dorure à Chaud, …)
La prépresse définit la création du support d’édition ou de communication, sa composition, sa rédaction, sa maquette, les relectures. Toute ces opérations réclament du temps. Et comme dit l’adage, « le temps c’est de l’argent ».
> Réaliser en interne ou faire faire ?
A cette question, beaucoup pense qu’optimiser, c’est faire le choix de traiter en « interne ». Si cela permet d’être au plus « proche » du besoin, cela peut s’avérer très chronophage si les compétences viennent à manquer. Nous observons souvent des donneurs d’ordre confier à leurs collaborateurs non infographistes des travaux de composition. A l’heure du passage en impression, les contraintes apparaissent et les temps de correction deviennent important.
Notre conseil : Les travaux de conception, création, doivent être correctement estimés et les ressources identifiées. Notre agence de communication, l’agence Offset 5, à la particularité d’être intégrée à notre imprimerie. Connaissant parfaitement les contraintes de l’impression et se trouvant sur un seul et même site, le temps de la prépresse est de fait réduit, parfaitement ajusté et donc plus économique.
Le conditionnement :
Un conditionnement inadapté peut vite se révéler couteux. Le conditionnement en carton simple cannelure, se révèlent bien souvent suffisant. De même la mise sous film, n’est pas toujours utile.
Les bonnes questions à se poser pour optimiser le conditionnement :
La diffusion :
Le poste logistique peut vite coûter cher, voire très cher, dans un projet de communication ou d’édition !
La distribution « dans le vide » du produit final (la trop couteuse NPAI : n’habite plus à l’adresse indiquée) demeure une cause de surcoût très importante.
Attention : Vérifier vos listings d’adressage et méfier vous des conséquences désastreuses d’un invisible décalage de ligne dans un fichier Excel !!
Petite clarification du vocabulaire :
Notre conseil : Rationalisation est souvent synonyme de massification. Fabriquer plus de la même chose en même temps. Accordez-vous sur un processus de travail avec votre partenaire imprimeur pour valider avec lui des productions par lots.
Notre dernière piste est de bon sens. Optimiser un projet d’impression passe par l’intervention des différents acteurs de la chaine. Votre agence de communication si vous en avez une, votre service marketing cas échéant, votre imprimeur, votre diffuseur (si cette opération n’est pas réalisée par votre imprimeur). Solliciter l’expertise de vos partenaires, tout en ayant conscience des intérêts de chacun est probablement la meilleure recommandation que nous puissions faire.
Bien souvent, vos économies de budget print sont en ligne avec une conduite plus écoresponsable. Moins de perte de papier lors d’une impression, moins d’erreur sur la chaine logistique, moins de temps passé en conception. Les 7 pistes proposées sont réalistes, simples et efficaces mais ne sont certainement pas exhaustives. Le fait est que ces axes de travail demandent de parfois sortir du cadre habituel pour reconstruire un cahier des charges optimisé.
Notre équipe est à votre disposition pour vous aider dans cette démarche !
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partenaire de vos projets d’impression, d’édition et de communication.
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L’avènement du digital et la progression du télétravail, lié au contexte actuel, impose aux directions marketing et de la communication une réflexion profonde, relative à la gestion de la relation client et à la pertinence des outils de communication choisis.
A l’instar d’un post LinkedIn ou d’une publication Facebook qui permettent de toucher massivement et rapidement, le catalogue papier apporte pour sa part une dimension durable, pérenne et un sentiment au lecteur, d’un service de qualité, d’une offre dense, d’une entreprise solide et rassurante.
C’est pourquoi le catalogue papier est un élément stratégique et fondamental en 2022 de la génération d’activité pour votre entreprise.
Une synthèse s’impose sur les différents types de catalogues imprimés, pouvant être réalisés.
Le catalogue général
C’est un catalogue regroupant l’ensemble de vos offres, nouveautés, grilles tarifaires. Ce catalogue cyclique, est souvent produit 1 à 2 fois par an. Il est souvent utilisé comme outil de référence d’un catalogue produit.
Le catalogue de vente à distance
Totalement dédié à la vente à distance, il est le reflet d’une stratégie commerciale finement étudiée et mise en valeur par les services marketing et communication. C’est un catalogue ayant pour but de recevoir des commandes immédiates.
Le catalogue thématique
Vous avez identifié précisément le profil de votre client, adressez-lui un catalogue thématique, totalement dédié à ses besoins.
Le plus : ce catalogue thématique peut être imprimé, personnalisé et expédié à la demande.
Le catalogue asilé
Le catalogue des offres spéciales, promotions, nouveautés. Un impact commercial indéniable pour ces catalogues insérés dans les livraisons (colis), dans les courriers postaux et les différents systèmes de logistique de livraison et de relation client.
Le catalogue personnalisé
Nouveau fer de lance de nombreuses sociétés les ayant adoptés, ces catalogues peuvent être personnalisés, thématisés (post ou pré rendez-vous), produits à l’unité et à la demande, ils permettent un très fort impact commercial et un véritable contrôle sur la personnalisation du contenu.
Afin d’établir ou de conforter votre notoriété, rien n’équivaut le catalogue papier, preuve d’une belle offre commerciale et d’une structure d’entreprise solide et rassurante.
Le catalogue imprimé n’est pas à la portée de tous. Il va demander des compétences internes ou externalisées pour gérer sa production (gestion des données, mise en page attractive et commerciale formatée pour l’impression, images de qualité…).
Il va rester près des utilisateurs, il sera nécessaire de vérifier et valider l’ensemble des informations.
Il apportera un haut niveau de confiance à celui qui va le recevoir.
Si vous souhaitez asseoir votre notoriété, rien de tel qu’un catalogue papier. D’ailleurs les nouveaux acteurs du e-commerce n’ont pas tardé à le comprendre et à l’intégrer dans leur stratégie commerciale.
C’est également un redoutable outil de relation commerciale qui pourra booster les ventes de façon importante. Le catalogue papier est l’indispensable outil du rendez-vous commercial physique, qui en cette période, redevient un besoin important et nécessaire dans la relation client.
La communication papier est structurante pour les temps forts commerciaux cycliques, et pour mener une nouvelle réflexion sur la construction d’offres promotionnelles.
Facilement manipulable, vous pouvez tourner, avancer, revenir, identifier, marquer des pages, annoter, comparer plusieurs pages, montrer, feuilleter, mais aussi identifier des couleurs, les comparer. Des plaisirs sensoriels que tous les utilisateurs apprécient.
Un outil d’aide à la vente particulièrement efficace.
Présent sur un bureau, une table, dans votre véhicule… Partageable, transportable, consultable partout et par tous, le catalogue papier accompagne vos clients et votre équipe commerciale.
La majorité des sites internet proposent de « recevoir un catalogue papier ».
Cette offre n’est pas anodine, c’est un moyen unique de qualifier un prospect, mais surtout c’est un besoin et une demande de très nombreux consommateurs avant de passer à l’acte d’achat.
Le catalogue papier laisse une trace indélébile des offres proposées.
C’est un élément déterminant dans l’acte d’achat.
Papier + digital, une stratégie hybride gagnante
Le digital et l’imprimé sont devenus des alliés incontournables dans la performance de la relation commerciale.
La data* alimente la communication en la rendant plus proche et authentique, ce qui va faciliter la conversion.
Pour un client et/ou un prospect identifié, les données récupérées via un emailing, un site internet ou différentes sources digitales, permettent d’identifier des profils, des catégories, des domaines d’intérêt. Ainsi il est plus facile et pertinent d’adresser un document imprimé répondant parfaitement aux critères de l’intéressé.
Pour exemple : Mon concessionnaire automobile m’adresse un email avec ses 3 nouveaux modèles de véhicule, XYZ. Si je clique sur le modèle Y, il peut m’adresser automatiquement sous quelques jours, la documentation complète du véhicule cliqué.
Le support imprimé devient alors un complément de fidélisation et une marque de reconnaissance. Le catalogue sera le reflet personnalisé des éléments fournis par la data.
* Data est un terme anglophone, utilisé comme synonyme du mot « données » en français, dans le domaine informatique.
Opérer une montée en gamme d’un service ou d’un produit, voire même plus largement d’une entreprise, n’est jamais chose aisée. Choisir le bon message et les bons supports pour diffuser votre image de marque sont des facteurs clés dans un processus de montée en gamme.
Le catalogue papier est un excellent moyen de véhiculer une image qu’elle soit volontairement prestigieuse ou a contrario perçue comme économique.
Afin de coller au mieux à l’image que vous souhaitez véhiculer, vous pouvez, pour votre catalogue imprimé, jouer avec les différentes options mises à disposition pour servir la cause que vous défendez.
Le format
Le grammage
L’Impression sur papier écoresponsable
L’ennoblissement
La reliure
La personnalisation
Le catalogue général
Généralement le début d’année et la rentrée de septembre sont les périodes les plus propices à la diffusion de votre nouveau catalogue. Il peut également être réalisé pour coller à une actualité, un salon, un événement.
Le catalogue de vente à distance
Ce type de catalogue est à calquer sur le rythme commercial que vous souhaitez donner à votre activité. Il peut s’adresser cependant selon une saison, un évènement, une nouvelle gamme, sans oublier que pour une offre de vente en B to C, il est préférable qu’il soit distribué dans les derniers et premiers jours du mois.
Le catalogue thématique
Ce catalogue va être diffusé à une clientèle déjà bien identifiée. Il sera adressé selon l’offre produit correspond au profil du client, plutôt qu’à une période précise
Le catalogue asilage
C’est dans le colis que se trouvera votre catalogue. il pourra proposer les dernières nouveautés, des offres promotionnelles…Ce sera donc un catalogue mis à disposition du service logistique.
Le catalogue personnalisé
Très impactant ce catalogue sera personnalisé et édité à l’unité avant ou suite à un rendez-vous ou un entretien avec votre interlocuteur. Son contenu sera sélectionné et imprimé selon les sujets abordés. Il sera imprimé à la demande.
Confiance, liant, plaisir, performance multicanal, personnalisation, le catalogue imprimé est, sous ses différentes formes, un atout essentiel pour assurer une relation de confiance avec vos interlocuteurs. C’est un outil stratégique de tout premier plan.
Vous souhaitez réaliser un catalogue !
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